6 h. ago France : Un proche de Macky Sall et son épouse placés en garde à vue pour détournement de fonds publics

Amadou Daff, coordinateur en France du parti de l’ex-président sénégalais Macky Sall, l’Alliance pour la République (APR), a été placé en garde à vue avec son épouse. Selon Europe 1, il est soupçonné d’avoir détourné plus de 500 000 euros de fonds publics à travers une association de médiation qu’il dirigeait à Mantes-la-Jolie. L’enquête a été déclenchée après un audit réalisé par des experts-comptables, qui a révélé l’existence présumée d’un système de fausses factures et de sociétés fictives. Les investigations ont mis en évidence des détournements supposés s’étalant sur une décennie. L’association, aujourd’hui dissoute, bénéficiait de financements publics, mais une partie des fonds aurait été frauduleusement redirigée via des facturations fictives. C’est un signalement au parquet de Versailles en 2023 qui a conduit à l’ouverture de l’enquête, laquelle a abouti à son interpellation. Personnalité influente au sein de la diaspora sénégalaise en France, Amadou Daff avait également ex...

Economics

14 h. ago Révision de la loi d’amnistie: Un pas vers la justice au Sénégal

L’Assemblée nationale du Sénégal a adopté, le 2 avril 2025, une révision de la loi d’amnistie votée sous l’ancien président Macky Sall, excluant les crimes de torture, d’assassinat et de meurtres des violences politiques survenues entre 2021 et 2024. Cette révision vise à clarifier les infractions couvertes par la loi d’amnistie et à permettre l’ouverture … Cet article Révision de la loi d’amnistie: Un pas vers la justice au Sénégal est apparu en premier sur Rewmi.com.

Other

17 h. ago Amnistie : L’APR annonce un recours devant le Conseil constitutionnel

L'adoption, hier, de la Loi d'interprétation de la Loi d'amnistie par la majorité parlementaire soulève des inquiétudes au sein de l'Alliance pour la République (APR). Le parti attire l'attention sur les enjeux de cette initiative, qu'il juge contraire à l'équilibre des institutions et à l'engagement envers l'égalité des citoyens devant la Loi. Dans un communiqué publié hier mercredi, le Secrétariat exécutif national du parti de l'ancien Président Macky Sall accuse le gouvernement de « consacrer un nouveau reniement et une énième violation du serment du président de la République ». Selon l'APR, cette loi, loin d'être une clarification juridique, vise à « absoudre les commanditaires et les auteurs de délits et de crimes » tout en remettant en cause l'action des Forces de défense et de sécurité (FDS) qui ont, selon eux, « fait échec au projet insurrectionnel » de Pastef. Le parti dénonce un « retour en arrière funeste » qui compromettrait l'égalité entre les citoyens et fragiliserait...

Politics

19 h. ago Loi d’amnistie / Affaire Adji Sarr, sort réservé à Macky Sall et au Général Moussa Fall : Les éclairages d'El Amath Thiam

Adoptée hier par l’Assemblée nationale, la loi d’interprétation de l’amnistie suscite de nombreuses interrogations sur son application. Le juriste-consultant El Amath Thiam, président de Justice sans Frontière, a éclairé les enjeux juridiques et les perspectives de poursuites dans les colonnes de "L’Observateur", lit-on dans "Senenews". Selon lui, la loi ne peut entrer en vigueur immédiatement : « La Constitution prévoit un délai de six jours francs pour d’éventuels recours devant le Conseil constitutionnel. Tant que ce délai n’est pas écoulé, le Président ne peut pas promulguer la loi ». Une fois promulguée, la justice pourra agir. « La Haute Cour de justice, la Police ou la Gendarmerie pourront auditionner des suspects », explique-t-il. Cependant, pour les Forces de défense et de sécurité (FDS), il précise : « Un policier, un gendarme ou un militaire ne peut être poursuivi sans l’ordre de son ministère de tutelle. Et s’il est jugé, ce sera devant la justice mil...

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19 h. ago Loi d’amnistie : Adji Sarr intouchable, le sort réservé à Macky Sall et au Général Moussa Fall

Adoptée hier par l’Assemblée nationale, la loi d’interprétation de l’amnistie suscite de nombreuses interrogations sur son application. Le juriste-consultant El Amath Thiam, président de Justice sans Frontière, a éclairé les enjeux juridiques et les perspectives de poursuites dans les colonnes de L'Observateur. Selon lui, la loi ne peut entrer en vigueur immédiatement : « La Constitution prévoit un délai de six jours francs pour d’éventuels recours devant le Conseil constitutionnel. Tant que ce délai n’est pas écoulé, le président ne peut pas promulguer la loi. » Une fois promulguée, la justice pourra agir. « La Haute Cour de justice, la police ou la gendarmerie pourront auditionner des suspects », explique-t-il. Cependant, pour les Forces de défense et de sécurité (FDS), il précise : « Un policier, un gendarme ou un militaire ne peut être poursuivi sans l’ordre de son ministère de tutelle. Et s’il est jugé, ce sera devant la justice militaire. » L’audition d’Adji Sarr, demandée par...

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29 h. ago Adoption de la loi interprétative : L’APR dénonce une loi qui « promeut un retour en arrière funeste »

Ce mercredi 02 Avril 2025, l’assemblée nationale sénégalaise a adopté la proposition de loi interprétative de l’amnistie de mars 2024. Une victoire pour le parti au gouvernement (Pastef), qui ne plaît pas fait que des heureux. Pour le parti de Macky SALL, l’alliance pour la république (APR), « Pastef vient de voter une loi scélérate dite […] The post Adoption de la loi interprétative : L’APR dénonce une loi qui « promeut un retour en arrière funeste » appeared first on Walf NET.

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29 h. ago Le camp de Macky Sall saisit le FMI et conteste le rapport de la Cour des Comptes

Le Secrétariat Exécutif National de l’Alliance Pour la République (APR) a adressé une lettre au Fonds Monétaire International (FMI) pour solliciter une réunion de travail sur le rapport de la Cour des Comptes. L’APR dénonce une procédure d’audit biaisée et affirme disposer d’éléments chiffrés remettant en cause les conclusions du rapport. Le FMI, de son côté, a précisé qu’il n’a pas validé les chiffres avancés par la Cour, se limitant à examiner les données fournies par le gouvernement entre 2019 et 2023. Voici le communiqué ! « Le Secrétariat Exécutif National a saisi le FMI par lettre, pour demander la tenue d’une réunion de travail sur le rapport de la Cour des Comptes. Ce mercredi, 26 mars, le Fonds Monétaire International vient de publier sur son site internet le compte-rendu de sa mission au Sénégal et nous informe qu’il n’a en aucun cas validé les chiffres du rapport de la Cour des Comptes. Au contraire, il s’est contenté de constater et d’examiner les chiffres annoncés par l...

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31 h. ago L’Assemblée nationale adopte la loi interprétative de l’amnistie, précisant son champ d’application

L’Assemblée nationale du Sénégal a adopté ce mercredi la proposition de loi visant à interpréter la loi d’amnistie promulguée par l’ancien président Macky SALL en mars 2024. La  proposition de loi a recueilli une large majorité de voix, avec 109 députés votant « pour » (84.50%), tandis que 20 députés ont voté « contre » (15.50%). Sur les 165 […] The post L’Assemblée nationale adopte la loi interprétative de l’amnistie, précisant son champ d’application appeared first on Walf NET.

Society

33 h. ago « Allez chercher Macky Sall ! » : la sortie fracassante de la députée Marie Angélique Selbé Diouf

La députée Marie Angélique Selbé Diouf s’est illustrée par une intervention virulente lors de la séance plénière consacrée à l’examen du projet de loi portant interprétation de la loi d’amnistie. Dans un discours incisif, elle a interpellé avec force les élus de l’opposition, les sommant d’assumer leurs responsabilités passées. « Capitulez et faites amende honorable, car vous n’avez plus voix au chapitre ! Voilà pourquoi vous êtes aujourd’hui relégués à écouter ceux qui représentent véritablement le peuple vous rappeler vos actes », a-t-elle lancé, avant d’ajouter : « Ayez le courage et l’humilité de venir ici demander pardon aux Sénégalais. » Mme Diouf a poursuivi en accusant l’opposition d’avoir plongé le pays dans une décennie marquée, selon elle, par « l’immunité, les tortures et les massacres ». Elle a ensuite plaidé pour que justice soit faite, ciblant directement l’ancien président Macky Sall, actuellement en séjour au Maroc. « Monsieur le Ministre de la Justice, commencez pa...

Politics

34 h. ago Loi d’amnistie : Le député Alioune NDAO dénonce des « pièges » et vise les « commanditaires » des violences

La loi d’amnistie promulguée par l’ancien président Macky SALL continue de susciter de  réactions. Le député et ancien procureur près la Cour de Répression de l’Enrichissement Illicite (CREI), Alioune NDAO, a exprimé de sérieuses réserves quant à la portée et aux intentions de ce texte, ce mercredi 2 avril, lors des débats à l’Assemblée nationale. […] The post Loi d’amnistie : Le député Alioune NDAO dénonce des « pièges » et vise les « commanditaires » des violences appeared first on Walf NET.

Politics

36 h. ago Samba Dang prend la défense des FDS : "Aucun agent n'a commis de forfaiture, c'est plutôt le n° 9 qui accomplissait vos basses œuvres"

S’adressant aux députés de l’opposition, anciens membres de la majorité sous Macky Sall, le déput... www.pressafrik.com

Events

37 h. ago Kenya : Macky Sall a présidé une rencontre internationale sur le changement climatique

Alors que l’Assemblée nationale débat de la proposition de loi interprétative de l’amnistie d... www.pressafrik.com

Society

37 h. ago Kenya : Macky Sall préside la rencontre internationale sur le changement climatique

Alors que l’Assemblée nationale examine actuellement la proposition de loi portant interprétation de la loi d’amnistie de 2024, l’ancien président Macky Sall a été aperçu au Kenya. Ce mardi 1er avril 2025, il a présidé une réunion du Conseil de surveillance du Centre mondial pour l’adaptation au changement climatique. Sur son compte X (anciennement Twitter), Macky Sall a tenu à remercier son hôte, le président kényan William Ruto. « Je remercie vivement le président @WilliamsRuto du Kenya pour avoir bien voulu accueillir la réunion du Conseil de surveillance du Centre mondial pour l’adaptation au changement climatique que j’ai présidée ce 1er avril 2025 », a-t-il écrit. Cette apparition publique de l’ex-chef d’État intervient alors que le débat fait rage au Sénégal autour de l’interprétation de la loi d’amnistie, une question qui continue d’alimenter les discussions politiques et judiciaires dans le pays.

Society

38 h. ago Amy Dia prévient Aïssata Tall Sall et ses collègues : « Apprenez déjà comment survivre en prison  »

Cette intervention d’Amy Dia à l’Assemblée nationale a marqué un moment fort du débat sur la loi d’interprétation de l’amnistie de 2024. En s’adressant directement à Aïssata Tall Sall et à l’opposition, elle a mis en lumière la fracture politique entre le régime actuel et les héritiers de Macky Sall. Son ton offensif et sa rhétorique incisive illustrent l’intensité des tensions entourant cette proposition de loi. L’argument d’Amy Dia repose sur un double axe : d’un côté, elle rappelle les injustices subies par les jeunes militants arrêtés sous le régime précédent, dont elle-même a fait partie, et de l’autre, elle affirme que le peuple sénégalais attend une justice réparatrice. En évoquant la douleur des familles des victimes et la nécessité de solder les comptes du passé, elle ancre son discours dans une dimension émotionnelle forte. Avec 130 députés sur 165, Pastef dispose d’une majorité écrasante, ce qui assure pratiquement l’adoption de cette loi. Mais Amy Dia insiste sur un poin...

Events

41 h. ago Cheikh Thioro Mbacké interpelle les autorités : « Dès demain, les arrestations doivent suivre »

Le député de la mouvance présidentielle, Cheikh Thioro Mbacké, a réaffirmé la position ferme de son parti sur la nécessité de rendre justice aux victimes de maltraitance et de torture. Alors que l’Assemblée nationale s’apprête à examiner un projet de loi en ce sens, l’élu de Touba n’a pas mâché ses mots. « Nous ne devons pas transiger sur cette loi. Ce que Macky Sall a laissé passer est inadmissible. En tant que parlementaires, nous devons voter ce texte, et dès demain, les arrestations doivent suivre », a-t-il déclaré avec fermeté. Responsable politique de Pastef à Touba, Cheikh Thioro Mbacké insiste sur l’urgence de cette réforme, estimant qu’il est temps de rompre avec l’impunité qui a marqué les précédents régimes. Selon lui, l’État doit prendre ses responsabilités et faire respecter les droits humains, conformément aux engagements pris par les nouvelles autorités.

Politics

41 h. ago Député Alioune Ndao : « La loi d’amnistie votée par le régime de Macky Sall n’est qu’une farce »

Lors de son intervention devant l’Assemblée nationale, le député du groupe Pastef, Alioune Ndao, a dénoncé la loi d’amnistie de 2024 qui, selon lui, favorise l’impunité. Répondant à ceux qui estiment que Sonko et Diomaye avaient accepté cette loi, laquelle leur a permis de sortir de prison , le parlementaire a précisé :   « Une loi d’amnistie doit emporter l’adhésion de tous les citoyens. Ceux qui ont voté pour son adoption savaient qu’il serait très difficile de l’abroger, car des pièges y ont été dissimulés. Je salue le courage du député Amadou Ba (Pastef), qui a eu l’audace d’interpréter cette loi d’amnistie. Nous savions que les forces de l’ordre étaient complices de nervis Je demande à tous les députés de voter en faveur de cette loi interprétative  », a déclaré Alioune Ndao, ancien procureur du CREI. www.dakaractu.com

Politics

41 h. ago Cheikh Thioro Mbacké sur la loi interprétative : « Les arrestations doivent commencer dès demain »

Pour le député de la mouvance présidentielle, Cheikh Thioro Mbacké, la position de son parti reste inchangée. Il est essentiel de rendre justice aux victimes de maltraitance et de torture.   « Nous ne devons pas transiger sur cette loi. Ce que Macky Sall a laissé passer est inadmissible. En tant que parlementaires, nous devons voter ce texte, et dès demain, les arrestations doivent suivre », déclare le député et responsable politique de Pastef à Touba. www.dakaractu.com

Politics

42 h. ago Concessions Ciments du Sahel : Oumar SARR défend les décrets de Macky

Oumar SARR, dernier ministre des Mines sous Macky SALL, réagit à l’annulation par le Président Bassirou Diomaye FAYEde deux décrets accordant des concessions minières à Ciments du Sahel. Dans un entretien avec L’Observateur, Oumar SARR a pris la défense de Macky SALL, soulignant qu’il exerçait ses responsabilités jusqu’à la fin de son mandat. Il estime regrettable l’annulation de ces décrets et compare la situation aux décisions […] The post Concessions Ciments du Sahel : Oumar SARR défend les décrets de Macky appeared first on Walf NET.

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42 h. ago Annulation des décrets miniers : Oumar Sarr brise le silence

L’ancien ministre des Mines sous Macky Sall, Oumar Sarr, est monté au créneau après l’annulation de deux décrets signés par l’ancien président, accordant des concessions minières à la société Ciments du Sahel. Ces décisions du nouveau chef de l’État, Bassirou Diomaye Faye, portent sur l’exploitation de l’argile à Thicky et du calcaire à Kirène pour une durée de 25 ans. Selon Le Soleil, ces décrets auraient été pris en violation des normes en vigueur, notamment le Règlement n°02/2023/CM/UEMOA du 16 juin 2023, qui limite la durée des renouvellements des concessions minières à 20 ans. De plus, ils se basaient sur l’article 29 du Code minier de 1988, pourtant abrogé par le Code minier de 2016. Dans un entretien accordé à L’Observateur, Oumar Sarr déplore cette annulation et défend l’ancien président Macky Sall : « Le Président Macky Sall était en exercice jusqu’au 2 avril 2024 et il devait assumer ses responsabilités jusqu’à la fin de son mandat. Certains décrets pris dans cette période...

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43 h. ago Loi interprétative de l’amnistie : Réparer l’injustice ou réécrire l’histoire ?

En revenant sur la loi d’amnistie adoptée à la fin du régime précédent, Pastef ne se contente pas d’interpréter un texte juridique : il engage une lecture politique de la justice, de la mémoire collective et des promesses de rupture. En déposant une proposition de loi interprétative par le biais de son groupe parlementaire, le parti choisit d’ouvrir un nouveau front : celui de la légitimité, de l’équité et du récit national. Ce geste, à la fois symbolique et stratégique, soulève des espoirs mais aussi des doutes. Cette initiative législative incarne une volonté de rupture assumée. Il ne s’agit pas ici de créer une nouvelle loi d’amnistie, mais de corriger la précédente, jugée partielle, orientée et instrumentalisée. Adoptée dans un contexte de panique politique à la veille d’une chute de régime, cette loi avait exclu, sous des prétextes juridiques, ceux qui dérangeaient. Elle offrait le pardon, mais seulement à ceux que le pouvoir de Macky Sall voulait blanchir. En effet, le législa...

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